Qiang est un nom donné à divers groupes ethniques, durant différentes périodes de l’histoire chinoise. D’anciennes tribus nomades sont considérées comme les ancêtres, à la fois des Qiangs modernes et du peuple Tibétain
Les Qiang historiques ont quitté, au cours du 1er millénaire av. J.-C., le nord du plateau tibétain, pour s’étendre vers l'Est et rejoindre le peuple Han, et d’autres branches, vers le sud pour rejoindre les provinces du Yunnan et du Guizhou. Certains sont allés encore plus loin, en Birmanie, formant de nombreux groupes ethniques aux langues tibéto-birmanes.
Les Qiangs vivent aujourd’hui principalement dans des zones montagneuses et accidentées, du nord-ouest de la province du Sichuan.
Leur population se montait à 306 072 habitants au recensement de 2000, avant un grave séisme en 2008, dont l'épicentre se situait dans sur leur territoire.
La population Qiang d'aujourd'hui est plus réduire que par le passé pour ce peuple dont l'histoire remonte jusqu'à la dynastie Shan.
Les Hans se considèreraient comme les descendants des Qiang.
Elle cherche à comprendre et à expliquer l'impact du social sur les représentations (façons de penser) et comportements (façons d'agir) humains. Ses objets de recherche sont très variés puisque les sociologues s'intéressent à la fois au travail, à la famille, aux médias, aux rapports de genre (hommes/femmes), aux religions, ethnicités, bref, à l'environnement humain.
Les analyses géopolitiques se basent les études des interactions entre le politique et le territoire, les rivalités ou les tensions qui trouvent leur origine ou leur développement sur le territoire, l’analyse des rapports de forces entre divers acteurs sur un espace plus ou moins défini.
Exemple parmi d'autres : Le développement de la culture industrielle du thé en Asie a eu des conséquences importantes dans les relations géopolitiques mondiales
La géopolitique, se doit d'utiliser l'ensemble des connaissances liées à la géographie (géographie physique, mais aussi la géographie humaine dans toutes ses composantes sociales, économiques, culturelles, sanitaires, les matières premières et les flux de ressources), mais aussi utiliser l'histoire, la science politique, etc.