La partie continentale est occupée par la Chine et les Corés.
La Chine tempérée s'etend de la Sibérie orientale au fleuve Yang Tse, sur une large facade maritime. A l'est derrière la grande muraille commencent l'Asie centrale avec les steppes et les deserts. Au sud du Yang Tse, c'est l'asie des moussons au climat intertropical.
Le relief est pratiquement inexistant. C'est une région de grandes plaines.
Le fleuve emblématique de cette région ets le Huang Ho (Fleuve jaune) qui après a voir failli se perdre dans le desert de Gobie, reviens irriguer le nord est Chinois. Ce fut sur ses rives que germa la civilisation Chinoise il y a 4 à 5000 ans. Le loess apporté par les vents d'Asie centrale combiné aux alluvions véhiculées par les rivières permirent l'éclosion de l'agriculture.
Le climat tempéré, plus contrasté qu'en Europe est à forte influence continentale l'hiver et maritime l'été. Les écarts de température entre été et hiver sont important. Il n'est pas rare de descendre en dessous de -20° en hiver à Pékin et de monter au dessus de 35° en été.
Les cultures du blé et du soja y sont dominantes.
Une minorité se définie dans un contexte, non de manière absolue. Elle peut être analysée par rapport à de la population d’une nation, d’une zone géographique, du point de vue des religions, des langues, de la culture ou de la race, de la couleur de peau, des liens de parenté…
L’appréciation en est variable selon le lieu et l’époque.
La supériorité du nombre est vue comme une hiérarchie, une supériorité de la majorité. Dans l’histoire il est peu d’exemple de minorités qui n’aient pas été marginalisées, persécutés, assimilés de force, voire physiquement éliminées.
La minorité ne l’est cependant pas toujours en nombre. Le colonisateur considéra souvent les indigènes comme des races inférieures.
La constitution des états nation moderne à souvent contribué à les révéler et à en aggraver le sort par rapport à la relative tolérance observée autrefois par les Empires. (Comme l’était les Ottomans ou les Austro-Hongrois par exemple)
La définition des minorités dépend des stratégies de la minorité elle-même, soit par son rôle géopolitique, économique, culturel. (Les juifs, les Arméniens,Touareg…)
Une minorité est aussi une catégorie sociale définie par discrimination : les homosexuels, les femmes, les gens du voyage.
La nation est un « Ensemble de personnes vivant sur un territoire commun, conscient de son unité (historique, culturelle, etc.) et constituant une entité politique
La notion de Nation est in concept occidental apparu après le traité de Westphalie au XVIIIème siècle, lorsque les royaumes européens formalisèrent l’existence de frontières géographiques à l’intérieur desquelles la souveraineté nationale s’exprimait. Pour d’autre civilisation le concept n’est pas associé à une délimitation précise des frontières, mais à l’existence de réseau d’alliance plus ou moins souples avec des peuples suzerains.
La nation est devenue depuis la Révolution française la forme privilégiée sinon unique de l'organisation politique dans le monde si bien qu'elle peut nous apparaître comme le cadre « naturel » dans lequel se pense et se vit le lien social et politique moderne.
Il convient de distinguer la nation et l’État. « L’idée de Nation implique une idée de spontanéité; celle d’État, une idée d’organisation qui peut être plus ou moins artificielle. Une nation peut survivre, même lorsqu’elle est partagée entre plusieurs États; et un État peut comprendre plusieurs nations » (Cuvillier, Précis de philosophie)